Je m’adresse à vous dans un contexte inédit et disons-le, grave pour un certain nombre d’entre nous.
Ma première pensée est évidemment pour nos concitoyens dans la peine, pour ceux hospitalisés et pour nos personnels soignants, absolument admirables de dévouement. Ils subissent de plein fouet, avec une résilience exceptionnelle, l’afflux croissant de malades.